1997, alors qu'on les croyait indestructibles, résistants aux drogues, au feu à la malaria et aux chatouilles, les Primal Scream sont au plus bas, à l'article de la dépression.
Pourquoi peut-on légitiment se demander ?
A cause d'un ticket de pressing perdu ...
Futiles les Primal Scream ? Non c'était le ticket de pressing qui leur permettait de récupérer leurs costumes de scène. Aussi à moins de jouer en slip chaussette pas moyen d'honorer leur future tournée.
Ils essaient la négociation, l'intimidation en vain, rien n'y fait, la gérante une anglaise acariâtre, vieille fille d'une cinquantaine d'années à qui on ne la fait pas, ne veut rien entendre; pas ticket, pas de costumes point final.
Pour se consoler, ils vont donc remixer les titres de leur précédent album version dub avec leur pote Adrian Sherwood.
Grand bien leur en a pris, la mégère tenancière du pressing était une fan invétérée de dub et en entendant le résultat elle revient sur ses principes et leur rend leurs costumes de scène même en l'absence du ticket (cependant moyennant un forte somme d'argent et de la drogue).
Tout est bien qui finit bien ...
Pourquoi peut-on légitiment se demander ?
A cause d'un ticket de pressing perdu ...
Futiles les Primal Scream ? Non c'était le ticket de pressing qui leur permettait de récupérer leurs costumes de scène. Aussi à moins de jouer en slip chaussette pas moyen d'honorer leur future tournée.
Ils essaient la négociation, l'intimidation en vain, rien n'y fait, la gérante une anglaise acariâtre, vieille fille d'une cinquantaine d'années à qui on ne la fait pas, ne veut rien entendre; pas ticket, pas de costumes point final.
Pour se consoler, ils vont donc remixer les titres de leur précédent album version dub avec leur pote Adrian Sherwood.
Grand bien leur en a pris, la mégère tenancière du pressing était une fan invétérée de dub et en entendant le résultat elle revient sur ses principes et leur rend leurs costumes de scène même en l'absence du ticket (cependant moyennant un forte somme d'argent et de la drogue).
Tout est bien qui finit bien ...
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