Au concours de la pochette pourrie il tutoierait les sommets (un nerd à lunettes, cheveux longs et manteaux à carreaux de ma grand mère qui se ballade au milieux d'un groupe d'asiat' en plein Qi gong ou Jo ging je ne sais pas), pourtant il faut dépasser ce loupé, acheter ce disque et l'insérer dans le lecteur.
Alors My dog eats beats démarre tout d'abord comme du Steve Reich avant qu'un beat hip-hop de loin ne prenne le relais avant de se fondre en ambient Aphex Twinienne (période Selected Ambient Works au hasard). Présenté comme cela c'est une nouvelle faillite qui s'ajoute au plantage de la pochette et pourtant la magie, l'alchimie même, opère nous emmenant pour voyage hors du temps entre rêverie et dodelinement.
Alors My dog eats beats démarre tout d'abord comme du Steve Reich avant qu'un beat hip-hop de loin ne prenne le relais avant de se fondre en ambient Aphex Twinienne (période Selected Ambient Works au hasard). Présenté comme cela c'est une nouvelle faillite qui s'ajoute au plantage de la pochette et pourtant la magie, l'alchimie même, opère nous emmenant pour voyage hors du temps entre rêverie et dodelinement.
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