Un début qui reprend les codes du dubstep: un accord de guitare reggae, une vibration basse presque wobble, de l'espace dans les sons et puis finalement rien ne se passe comme prévu, tout se dérègle: des relents industriels ressortent, froids et impersonnels, sorte de respiration chaotique et mécanique, très vite adoucis par des nappes synthétiques chaudes, puis cet accord de guitare initial qui reparait.
Alors c'est un changement de lieu qui s'opère, voilà une jungle mystérieuse et suffocante, mais très vite la moiteur ambiante s'assèche et l'atmosphère se refroidit annonçant le retour du martèlement implacable de la machine.
Soudain il cesse faisant place à de la quasi quiétude.
Alors c'est un changement de lieu qui s'opère, voilà une jungle mystérieuse et suffocante, mais très vite la moiteur ambiante s'assèche et l'atmosphère se refroidit annonçant le retour du martèlement implacable de la machine.
Soudain il cesse faisant place à de la quasi quiétude.
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