Mathias Aguayo et ses comparses voient les choses en grand.
Lorsqu'ils évoquent les Amazones ils le font de manière frénétique, convoquent des percussions sauvages, une mélodie ensorcelante et tissent une machine musicale guerrière inspirée par ces redoutables femmes.
Impossible de ne pas se sentir happé par leurs polyrythmies, de ne pas céder aux charmes vénéneux de cette mélopée simple mais intrigante, fascinante.
Alors tels des serpents abrutis par la luxuriance et la profusion et la répétition des sons et des rythmes nous nous déginganderons inlassablement sans retenue, honte ou fatigue. Finalement nous sombrerons fourbus, vaincus par les terribles Amazones mais heureux.
Lorsqu'ils évoquent les Amazones ils le font de manière frénétique, convoquent des percussions sauvages, une mélodie ensorcelante et tissent une machine musicale guerrière inspirée par ces redoutables femmes.
Impossible de ne pas se sentir happé par leurs polyrythmies, de ne pas céder aux charmes vénéneux de cette mélopée simple mais intrigante, fascinante.
Alors tels des serpents abrutis par la luxuriance et la profusion et la répétition des sons et des rythmes nous nous déginganderons inlassablement sans retenue, honte ou fatigue. Finalement nous sombrerons fourbus, vaincus par les terribles Amazones mais heureux.
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