"Est-ce que tu sais ce que c'est ça ?" interroge en ouverture de son morceau Renaud papillon Paravel.
La réponse vient promptement et sans ambiguïté: "le pornographe du phonographe."
Le propos est direct: "j'aime tonku, j'aime les bonnes pipes, les bons culs, j'aime tes gros seins, ton p'tit cul."
Alors que le vulgaire pourrait facilement surgir (et l'on se demande s'il ne la pas déjà fait de manière fracassante), notre insecte fait dans la métaphore un "poil" subtile et dans le jeu de mot quelque peu alambiqué, ou au moins dans la tournure capillotractée (qui ne manque pas de piquant)... le tout sur fond de reggae mené tambour battant.
Au final entre provocation lourde et louvoyance plus fine difficile de trancher, tant le bougre est sur le fil.
La réponse vient promptement et sans ambiguïté: "le pornographe du phonographe."
Le propos est direct: "j'aime tonku, j'aime les bonnes pipes, les bons culs, j'aime tes gros seins, ton p'tit cul."
Alors que le vulgaire pourrait facilement surgir (et l'on se demande s'il ne la pas déjà fait de manière fracassante), notre insecte fait dans la métaphore un "poil" subtile et dans le jeu de mot quelque peu alambiqué, ou au moins dans la tournure capillotractée (qui ne manque pas de piquant)... le tout sur fond de reggae mené tambour battant.
Au final entre provocation lourde et louvoyance plus fine difficile de trancher, tant le bougre est sur le fil.
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