Il y a des jours pour écouter du Portishead, aujourd'hui en est un.
Un morceau duel.
Une première partie à la guitare acoustique et aux ondes Martenot (ou leurs cousines ...) qui accompagnent la voix fragile, à la limite de la rupture parfois, de Beth Gibbons.
Une seconde partie qui mue en krautrock brinquebalant où la voix de Beth Gibbons se prolonge en longue plainte, avant de poindre à nouveau sous ses atours de fragilité, soutenue par un martèlement robotique et des sons répétitifs.
Un grand écart triple, entre folk, trip-hop et krautrock, ambitieux, risqué et maitrisé.
Une échappée à dos de chevaux sauvages et blancs ...
Un morceau duel.
Une première partie à la guitare acoustique et aux ondes Martenot (ou leurs cousines ...) qui accompagnent la voix fragile, à la limite de la rupture parfois, de Beth Gibbons.
Une seconde partie qui mue en krautrock brinquebalant où la voix de Beth Gibbons se prolonge en longue plainte, avant de poindre à nouveau sous ses atours de fragilité, soutenue par un martèlement robotique et des sons répétitifs.
Un grand écart triple, entre folk, trip-hop et krautrock, ambitieux, risqué et maitrisé.
Une échappée à dos de chevaux sauvages et blancs ...
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