Où il plane l'ombre tutélaire, mais en plus crade et minimaliste, de Suicide ...
Au chant un Alan Vega, avec le même fond rockabilly, crooner dépressif de supermarché le jour et satyre sadique libidineux courant nu dans les bois la nuit.
A la musique le tableau n'est pas véritablement plus reluisant, rythme primaire souffreteux, un premier synthé sale qui ne joue qu'un seul accord monotone semblant sombrer dans les graves et le néant et nous entraînant dans son infinie chute, un second synthé, pas plus reluisant, saturé qui s'occupe d'un ersatz de mélodie anxiogène.
La souillure élevée au rang d'art.
Au chant un Alan Vega, avec le même fond rockabilly, crooner dépressif de supermarché le jour et satyre sadique libidineux courant nu dans les bois la nuit.
A la musique le tableau n'est pas véritablement plus reluisant, rythme primaire souffreteux, un premier synthé sale qui ne joue qu'un seul accord monotone semblant sombrer dans les graves et le néant et nous entraînant dans son infinie chute, un second synthé, pas plus reluisant, saturé qui s'occupe d'un ersatz de mélodie anxiogène.
La souillure élevée au rang d'art.
Commentaires
Enregistrer un commentaire