Mendelson magnifie le Viet Vet d'Alan Vega.
Plus qu'une reprise il s'agit d'une réinterprétation, une réincarnation même.
Une tension musicale tournoyante, lancinante qui illustre tour à tour les tourments du vétéran, sa douleur tant physique que mentale, mais également la schizophrénie de la république qui l'a envoyé combattre et qui quand il revient le rejette car il lui renvoie au visage ce qu'elle voudrait oublier.
Tout est violence contenue, proche de la rupture, de l'explosion ...
L'amour est une possible rédemption, mais trop fugace hélas, la réalité vient heurter de plein fouet le vétéran, un bête accident.
Un dernier coup de boutoir qui fait vaciller et choir.
La spirale de la déchéance et de la folie reprend, l’hallucination devient sa réalité, l'échappatoire: un cri final entre révolte et résignation.
Beau, lugubre, habité, triste et puissant.
Plus qu'une reprise il s'agit d'une réinterprétation, une réincarnation même.
Une tension musicale tournoyante, lancinante qui illustre tour à tour les tourments du vétéran, sa douleur tant physique que mentale, mais également la schizophrénie de la république qui l'a envoyé combattre et qui quand il revient le rejette car il lui renvoie au visage ce qu'elle voudrait oublier.
Tout est violence contenue, proche de la rupture, de l'explosion ...
L'amour est une possible rédemption, mais trop fugace hélas, la réalité vient heurter de plein fouet le vétéran, un bête accident.
Un dernier coup de boutoir qui fait vaciller et choir.
La spirale de la déchéance et de la folie reprend, l’hallucination devient sa réalité, l'échappatoire: un cri final entre révolte et résignation.
Beau, lugubre, habité, triste et puissant.
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