Il y a comme un paradoxe entre le titre du morceau et la musique.
Un nimbe est un disque de lumière, pour faire bref et parcellaire c'est comme une auréole mais en mieux.
En écoutant Nimbes de Yair Elazar Glotman et James Ginzburg (une moitié d'Emptyset) ce n'est pas l'idée de lumière ou même de clarté qui vient en premier à l'esprit.
Éventuellement un vague rai diffus filtrant on ne sait comment dans une cellule souterraine mais guère plus.
A la contrebasse tourmentée, voire torturée, Yair Elazar Glotman qui sort de son instrument des sons graves, profonds, angoissants en frottant pinçant, tapant ses cordes.
Aux sons divers électroniques James Ginzburg, il fait grincer ses machines, les triture, les maltraite pour en tirer de la matière dense, noire et lourde.
Aussi hormis sur la couverture du disque le disque lumineux est rare, à moins qu'il ne s'agisse d'une oxymorique lumière sombre ...
Un nimbe est un disque de lumière, pour faire bref et parcellaire c'est comme une auréole mais en mieux.
En écoutant Nimbes de Yair Elazar Glotman et James Ginzburg (une moitié d'Emptyset) ce n'est pas l'idée de lumière ou même de clarté qui vient en premier à l'esprit.
Éventuellement un vague rai diffus filtrant on ne sait comment dans une cellule souterraine mais guère plus.
A la contrebasse tourmentée, voire torturée, Yair Elazar Glotman qui sort de son instrument des sons graves, profonds, angoissants en frottant pinçant, tapant ses cordes.
Aux sons divers électroniques James Ginzburg, il fait grincer ses machines, les triture, les maltraite pour en tirer de la matière dense, noire et lourde.
Aussi hormis sur la couverture du disque le disque lumineux est rare, à moins qu'il ne s'agisse d'une oxymorique lumière sombre ...
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