Minéraliser le végétal, le pétrifier pour l'éternité.
C'est cette impression que restitue Biosphere avec sa musique, mais elle n'est pas autant désincarnée et morte que cela, il lui insuffle un peu de vie en injectant quelques dialogues originels du film auquel il se réfère.
Au final se crée une alchimie précaire toujours à la limite de l’asepsie sonore, la froideur clinique, subtilement contre-balancée par de discrètes touches d'humanité, même si souvent c'est pour exprimer un désir qui restera inassouvi, une volonté qui subsistera contrariée, une angoisse, un regret ...
C'est cette impression que restitue Biosphere avec sa musique, mais elle n'est pas autant désincarnée et morte que cela, il lui insuffle un peu de vie en injectant quelques dialogues originels du film auquel il se réfère.
Au final se crée une alchimie précaire toujours à la limite de l’asepsie sonore, la froideur clinique, subtilement contre-balancée par de discrètes touches d'humanité, même si souvent c'est pour exprimer un désir qui restera inassouvi, une volonté qui subsistera contrariée, une angoisse, un regret ...
Commentaires
Enregistrer un commentaire