L'ivresse des profondeurs c'est ce que propose Lustmord.
Mais la descente vers l'abysse n'est pas sans risque.
Le véhicule, un sous marin, est exposé à beaucoup de pression et l'avarie guette, sans compter que se guider est mal aisé dans ce noir absolu et oppressant, le risque est là, la menace tapie.
Déjà il y a l'odeur dans le sous marin, mélange d'eau croupie, de sueur rance, de pisse stagnante et d'ozone due au matériel électrique omniprésent. Puis il y a cette moiteur de l'air vicié, mal recyclé.
Un étouffement permanent, une claustrophobie généralisée, une pesanteur insidieuse.
La solitude, l'enfermement, être libre dans une prison en quelque sorte.
Enfin ce bruit perpétuel, la ventilation, les moteurs, les craquements, les vibrations, jamais de calme, de silence. Et puis tous ces bruits extérieurs, des frottements, des chocs. L'esprit qui se met à imaginer des choses, difformes, monstrueuses, hostiles; la raison qui s'altère, la folie qui guette.
Une pression de chaque instant, tant intérieure qu'extérieure.
Le noir total enveloppant, la profondeur, l'isolement.
Un peu comme un mort en sursis dans un cercueil voué à une chute lente puis à l'oubli ...
Mais la descente vers l'abysse n'est pas sans risque.
Le véhicule, un sous marin, est exposé à beaucoup de pression et l'avarie guette, sans compter que se guider est mal aisé dans ce noir absolu et oppressant, le risque est là, la menace tapie.
Déjà il y a l'odeur dans le sous marin, mélange d'eau croupie, de sueur rance, de pisse stagnante et d'ozone due au matériel électrique omniprésent. Puis il y a cette moiteur de l'air vicié, mal recyclé.
Un étouffement permanent, une claustrophobie généralisée, une pesanteur insidieuse.
La solitude, l'enfermement, être libre dans une prison en quelque sorte.
Enfin ce bruit perpétuel, la ventilation, les moteurs, les craquements, les vibrations, jamais de calme, de silence. Et puis tous ces bruits extérieurs, des frottements, des chocs. L'esprit qui se met à imaginer des choses, difformes, monstrueuses, hostiles; la raison qui s'altère, la folie qui guette.
Une pression de chaque instant, tant intérieure qu'extérieure.
Le noir total enveloppant, la profondeur, l'isolement.
Un peu comme un mort en sursis dans un cercueil voué à une chute lente puis à l'oubli ...
Commentaires
Enregistrer un commentaire