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Articles

Affichage des articles du 2018

Donald Byrd - Street lady (1973)

Entrainement aux festivités à venir. Au moins ça pallie le manque de soleil ...

Horrific Child - Angoisse (1976)

Bienvenue dans le monde étrange de Jean Pierre Massiera qui de manière horrifique conte son ignoble décomposition, sa putréfaction nauséabonde, sa déliquescence irréversible, cela en reprenant les mots de Lautréamont. Maldoror plane derrière ça ... Horrific Child by L'Etrange Mr. Whinster

Automat - Dark days (2018)

Où le sombre a toute sa place, ainsi que l'inquiétant. Quand l'obscurité devient palpable, que l'on ne sait pas trop où l'on va, ni ce que l'on peut rencontrer. Quand on regrette sa témérité ... [BT28CHR02] Automat - The Invisible by brokntoys

X Ray Pop - Noël érotique (2012)

Je cède à l'éphémère mode de la chanson de Noël. Joyeux Noël érotique à tous ! Et tout le monde reprend en chœur: "Le Noël érotique, célébrons en nos corps ..." Xmas Pop by X Ray Pop

Chandra - Kate (1980/rééd2018)

Une pépite méconnue des années 80, entre disco bâtarde et no wave trippée pour danser de manière bancale, pour se laisser envouter par ses effluves de mélodie orientale et la voix affirmée de cette gamine de 12 ans ... Transportation Eps by Chandra

Taso x Fracture - Lose you (2018)

Du gimmick un poil putassier, de la grosse basse vénère et du breakbeat qui défouraille sec, voici la recette du track parfait pour un samedi soir. Gradients Vol. 2 by Taso x Fracture

Cassiano - Onda (1976)

Depuis mardi matin assez (trop) tôt je souffre d'une étrange et inconfortable maladie, j'ai l'impression qu'on est un autre jour, du genre un samedi matin au hasard. Du coup à chaque fois de la semaine que ce putain d e réveil à sonné ça a été un véritable calvaire. L'horrible sensation qu'un salopard vicieux a profité de mon sommeil pour sceller mes paupières avec de la colle. Cette certitude d'être samedi matin et ne pas comprendre pourquoi un hacker farceur et sadique à piraté mon réveil et l'a réglé beaucoup trop tôt. Alors oui demain c'est enfin samedi et ce satané réveil restera coi et moi endormi. D'ici là je vais savourer mon vendredi finissant et annonçant ces vacances attendues alors apéro time, bonne bouffe, glande forcenée et grasse mat'...

Dictaphone - Au botanique (2012/rééd2018)

Une déambulation quand la ville est endormie, un peu cabossée par la journée, quand elle est un peu déglinguée et qu'elle se repose. Une errance dans l'indécis, dans l'imprécis ...

Dj Cam - Lost kingdom (1996)

Un royaume lointain, ancien et vaporeux déchu, dont l'une des survivantes chante de sa voix plaintive et pleine d'émotion, la gloire perdue, la renommée envolée, la splendeur  décatie ...

Playboi Carti - Magnolia (2017)

Où il est question de trafic de drogue, de défonce, d'argent facile, de caïd de block, de renommée, de filles fascinées ... Rien de bien novateur en somme, au niveau des thématiques, on est en terrain connu et archi-balisé. Le flow n'a rien d'exceptionnel non plus, plaisant sans plus. Les motifs mélodiques et rythmiques, minimaux et répétitifs à souhait ensuquent l'esprit, les petits hooks en rafale (les what, flock, drop et compagnie) hypnotisent, plongeant l'auditeur dans une sorte de léthargie comateuse, la basse profonde enfonce le tout finissant le travail de sape des derniers relents de volonté. Et voilà l'auditeur défoncé au crack auditif !

Sly & The Family Stone - Family affair (1971)

C'est inévitable, l'abominable blues du lundi ne va pas tarder à pointer son nez. Alors autant l'ignorer ostensiblement et profiter de son dimanche pour écouter le nonchalant, feutré et chalouper Family affair de Sly & The Family Stone et envoyer paitre les idées maussades d u lundi à venir !

Dj Different - Angel (2018)

Une réminiscence de rave, ce breakbeat quasi jungle millésimée, cette voix emplie de nostalgie et d'espoir, ces nappes aériennes en sus. Pas de doute un ange plane et nous avec ...

Dasha Rush - Sleep ballade (2018)

La nuit se fait gourmande et enjôleuse, mais aussi lascive et paresseuse. Désirable et feutrée ... Sleepstep. Sonar poems for my sleepless friends by Dasha Rush

Sonic Youth - Mildred Pierce (1990)

Parce qu'une bonne chanson n'est rien sans de bonnes paroles ...

Buzzcocks - Everybody's happy nowadays (1979)

Ça aurait pu être une journée sympa, où de nos jours tout le monde aurait pu être content, mais hélas la mort de Pete Shelley a été annoncée ... So everybody's not so happy nowadays ...

Ma - Silent perfume (2018)

Autant je vois bien le concept de "silent perfume", une idée un peu feutrée et capiteuse d'un parfum qui se diffuse dans un pschitt à peine audible aussi discret qu'olfactif, pas de problème. Par contre, à l'inverse, je m'interroge, qu'est-ce qu'un "noisy perfume", un parfum bruyant voire un parfum sonore, je ne vois pas trop ? Un pet peut-être ... Silent Perfume. SEMANTICA 105 by MA

Beastie Boys - Namaste (1995)

Bon c'est un poil le bordel dans ma tête en ce moment, beaucoup de choses qui s'y précipitent et s'y entrechoquent en même temps, y compris la nuit ce qui n'est pas très reposant ... Donc besoin d'un peu de calme, d'un moment tranquille pour faire le vide et tout mettre au repos.

Roni Size / Reprazent - Brown paper bag (1997)

Une longue intro qui plante le décor, puis une cavalcade frénétique introduite par une courte vocalise, un petit repos, le temps de reprendre son souffle avant le galop final, élégant, racé et qui tient le rythme sur la durée. Par contre aucune réponse sur ce que pourrait contenir ce sac marron en papier ...

Shiken Hanzo - Kunai (2018)

Aiguisés, affinés, secs et arides voici comment sont les breakbeats de Shiken Hanzo ... Myth EP by Shiken Hanzo

Janko Nilovic - Centre atomique (1978-2019)

Un morceau météorique, à peine plus de 2 minutes au compteur, qui fleure bon le Shaft des familles. En gros des atomes font rien qu'à s'exciter le proton sur un riff de guitare wah-wah tandis que les neutrons se dandinent au rythme frénétique du charley et qu'une flute adoucit et calme les électrons. Y a pas à dire les centres atomiques c'est plus groovy que ça en à l'air ! Gare à la surchauffe, 'faudrait pas que ça pète non plus ... Un Homme dans l'univers by Janko Nilovic

Foudre ! - KAMI 神 (2018)

Après une journée bien de merde, à tendance accumulations diverses et variées, le bonheur de trouver un peu de calme intranquille, d'oppression claustrophobique dans l'immensité d'un désert paisible, l'hésitation fugace entre la lumière et la noirceur, ce clair obscur accueillant mais pas trop ... KAMI 神 by FOUDRE!

Dimitri From Paris - Rêveries (1996)

Alors qu'une vague de froid et de paresse semble vouloir clore ce vendredi, autant ne pas vouloir lutter. Mieux vaut succomber à la torpeur, se lover dans le canapé, emmitouflé dans une couverture et en bonne compagnie et écouter dans une léthargie semi-comateuse une rêverie fantasque. En bonus le p'tit sample qui fait la différence...

Fela Ransome Kuti & Africa 70 - Water get no enemy (1975)

Se laisser bercer, par l'entêtante musique et ses divagations instrumentales, puis prêter aussi attention aux paroles et à la voix profonde de Fela ...

Steve Poindexter - Computer madness (1989)

Un ordinateur déraille complètement et part en vrille. Il devient fou, ses circuits surchauffent et fondent ...

5X0D - Negativ terminal data (1984/2015)

Quand l'amour à sens unique tourne à l'obsession et vire à la folie ... Froid, désincarné et aliéné. 5X0D - " 5X0D " 2015 REF.DOM08-M by 5X0D

Igorrr - Houmous (2017)

La foire au grand foutraque de compétition ! De la musique des Balkans avec accordéon et sax qui se barre en couille et se transforme en brûlot métal. D'un coup par effraction de la musique klezmer débarque sans crier gare. Puis l'opéra barroque envoie tout chier avant que la musette "à la française", ambiance chez Gégène en bord de Marne, ne déboule, "chauffe Marcel, chauffe !" . Un peu de grandiloquence vocale mâtinée de blastbeat et grosse gratte rapidement interrrompue par un caquettement de poule (!?!?). Une console Nintendo et son 8 bit s'ajoutent parce que, et puis c'est tout. Pour voir comment on en arrive à ce bordel il y a un p'tit making of . Spéciale dédicace à l'accordéoniste en pantouffles trop la classe ...

researcher - Temporary ghost (2018)

On pourrait se dire que la vie de fantôme est plutôt cool, ne rien faire d'autre que hanter éternellement un vieux manoir écossais, que c'est plutôt sympa d'effrayer des gens qui n'en demandaient pas tant. Mais il y a cependant des bémols, esthétiquement le costume de fantôme est limité et pas très chaud (surtout en en hiver et en Écosse), l'activité est monotone en fait (surgir à l'improviste en poussant des grands bouh ça va 2 minutes mais sur le long terme c'est un  poil chiant), il faut aimer vivre dans une maison délabrée, pleine de poussière (comment font les fantômes asthmatiques ?), les évolutions de carrières sont nulles, il n'y a pas de congés payés et pas de salaire (mais que fait la CGT fantôme ?). Du coup il faudrait envisager une version 2.0 du fantôme, des postes en CDD, une fonction de fantôme temporaire ... Sinon musicalement c'est étrange c'est un peu comme si quelqu'un n'avait hérité que du coté triste et larmoyan

Scan 7 - Funky gudty me (2018)

Un p'tit sample de James, la quintessence de l'esprit funky, un riff de guitare en boucle, un thème mélodique redondant mais torride, une rythmique deep houseet c'est parti pour un bon et trémoussant début de vendredi soir. Party time ! We gotta take you higher ... Unify EP - Techno City Series / Detroit by Scan7

Mono Peninsula - Street (2018)

Une déambulation dans des rues désertes. Alors que cela aurait pu être inquiétant il en ressort une impression de calme, amplifiée par une certaine monotonie. C'est beau une ville sans vie. Pole et Rhythm & Sound se sont accouplés et ont eu une descendance ... Metro/Pol by Mono Peninsula

Jasmine Guffond - GPS dreaming (2017)

Imaginons un instant que les GPS ne soient pas que de simple calculateurs d'itinéraires optimaux mais qu'ils aient un succédané d'âme, une sorte de conscience. Après une longue journée passée à (dés)orienter des gens, ils sont fourbus et n'ont qu'une envie: dormir. Éteints ils sombrent dans la léthargie, leurs circuits imprimés et leur électronique pointue se mettent à rêver. À quoi peuvent-ils rêver ? Peut-être que leur seul désir est de se perdre, de ne pas savoir où aller, de vagabonder, d'errer sans but ni chemin prédéfini ... Traced by Jasmine Guffond

Africa Show - Massanga mama (1973?)

Une douceur mesurée empreinte de tristesse, voilà qui pourrait résumer ce morceau d'Africa Show. Un clavier vagabond, une guitare qui s'interroge sur ce qu'est le blues, des percussions indolentes et une basse discrète constituent la partie instrumentale où erre une voix profonde de celles qui ont connu la vie dure mais qui n'ont pas abandonné l'espoir malgré la mélancolie. La saudade quoi !

Roy Hargrove Presents The RH Factor - Forget regret (2003)

Au rayon "triste disparition", Roy Hargrove trompettiste talentueux. De la retenue dans ce titre, de la sensibilité, de la suavité. Surtout des regrets ...

Boy Harsher - Face the fire (2018/2019)

Toujours cette voix rauque, abrasée et profondément sensuelle, chaude et fascinante. Merveilleusement mise en valeur par le contraste avec la production froide et déshumanisée (cette batterie qui claque comme une trique). L'attente va être longue jusqu'à la sortie de l'album ...

Armando Trovajoli - Sesso matto (1973)

C'est l'heure du sexe débridé, sous toutes ses formes, dans toutes les positions et plus encore ... Alors on profite ! SESSO MATTO (Original Soundtrack) by Armando Trovajoli

Mister Modo & Ugly Mac Beer - I am not afraid (feat Jessica Fitoussi) (2009)

Ne pas avoir peur, mais avec du style bien entendu (et un hommage à J.Dilla).

Bremen - Too cold for your eyes (2018)

La rigueur "motorik" de la rythmique et la flamboyance triste des envolées ascensionnelles psychédéliques fébriles d'entrelacs de guitares; deux guitare qui se chamaillent, se taquinent, s'opposent, se complètent parfois. En contrepoint et en retrait de ce chaos une mélodie plus aérienne et apaisée qui bientôt est submergée, puis disparait engloutie sous la masse en fusion des guitares. On voudrait que cela ne cesse pas, en vain ... Enter Silence by BREMEN

The Prodigy - We live forever (2018)

Les Prodigy rentrent par effraction, saccagent la baraque, étalent du chocolat aux murs, effrayent le chat, mangent ses croquettes, secouent et ouvrent des canettes de bière dans le salon, dégoupillent un grenade dès fois qu'il reste quelque chose qui ne soit pas brinquebalant dans la maison, puis repartent aussi vite qu'ils sont arrivés. Des vandales !

Dopplerffekt - Telomere (2018)

Intéressons-nous, avec Doplereffekt, à la génétique et plus particulièrement aux télomères et à la réplication cellulaire. Aux dysfonctionnements et altérations qui peuvent survenir s'ils raccourcissent trop, à la sénescence qui en découle et à la mort qui surviendra finalement ... Athanatos by Dopplereffekt

Grems - Mickael (2018)

C'est la ronde des Mickael, il y en a à toutes de toutes sortes, protéiformes, multiples. Gare à l'invasion ...

Pee Gonzales - Whuz the P. ? (1997)

Cette nuit j'ai fait un rêve très étrange. Je me baladais tranquillement dans une rue commerçante d'un centre ville quelconque, sans but réellement défini. Il faisait plutôt beau. Et puis d'un coup, sans que je ne sache pourquoi, je me trouve alpagué par un vendeur d'une enseigne réputée pour ses vêtements laids. Me voilà quasiment kidnappé dans son magasin, le vendeur s'acharne à vouloir me vendre des cravates toutes plus laides les unes que les autres. Très vite cela tourne au calvaire, déjà je n'aime pas les cravates, c'est le genre de trucs qui me rappelle la corde que l'on passe au coup des condamnés à mort par pendaison. Donc après des heures de torture à devoir essayer des cravates toutes plus immondes les unes que les autres (qui a inventé la cravate verte à pois multicolore en laine et en satin, un pervers !), j'ai réussi par ruse à m'échapper de ce lieu. C'est au moment où je sortais du magasin que je me suis réveillé ...

Drexciya - Cascading celestial giants (2002)

Après avoir écumé les sombres profondeurs océaniques et y avoir découvert les peuples engloutis, Drexciya explore de nouvelles contrées toutes aussi mystérieuses mais bien plus lointaines. Cette fois direction l'espace et plus particulièrement une étoile, celle nommée par Drexciya, "Utopia" son but ultime. Le voyage dans le vide sidéral, froid et sombre sera l'occasion d'admirer des spectacles rares et majestueux, la mort d'étoiles, ces géants célestes qui meurent aussi, apoptose impressionante, un requiem accompagne cette fin, une psalmodie désincarnée, monotone et méditative. Grava 4 by Drexciya

The Pop Group - Citizen zombie (2015)

Il est temps de se prosterner devant les nouvelles idoles, dans les nouveaux temples modernes, lumineux et sexy, ceux de la consommation ... Il est temps de vendre son cerveau à la science, de toute manière il ne sert pas trop et on pourra en tirer un bon prix et donc acheter encore plus, prouver qu'on existe, qu'on est quelqu'un ... Il est temps d'abandonner tout esprit critique, de prendre pour argent comptant n'importe quelle ineptie débitée en continu partout, d'élire n'importe quel manipulateur populiste, ce sera facile on a vendu ce cerveau qui ne servait plus trop ... Paissons dans les prairies de l'ignorance, de la débilité, de la futilité et avançons gaiement vers l’abattoir ... Citizen Zombie by The Pop Group

Lyrics Born - Bad dreams (2003)

Parfois la nuit ne se déroule pas comme espéré et quelque chose se grippe ... Et là commence un cauchemar qui se répète ab libitum, mais bizarrement il est teinté de hip-hop funky !

Jackson Jones - I feel good Put your pants on (1980/2008)

Une espèce de funk bâtard, de disco de contrebande. Pas de grandiloquence, d'échappées sirupeuses, non c'est plutôt une histoire de groove bancal et monomaniaque, relativement lent mais invasif. D'un gars qui se sent bien, vraiment bien. Et de quelqu'un qui met sa culotte ou son caleçon. Peut-être ont-ils joué aux cartes ... Clone Classic Cuts by Jackson Jones

Portishead - Western eyes (1997)

"I feel so cold on hookers and gin ... This mess we're in ..." Et puis après ces paroles aussi définitives que profondes, on se lève titubant, on rentre chez soi tant bien que mal, on s'affale sur son lit, imbibé d'alcool, désabusé et fourbu. Demain ne peut qu'être meilleur ...

Nine Inch Nails - Play the goddamned part (2018)

Tonton Trent revient et devinez quoi, il n'est pas content ! Cette fois il s'est acheté un boxer et la couture de l'entre-jambe a lâchée, du coup grosse colère de Trent qui sort la basse, la saturation et la rage. Comme il aime fignoler il se lâche sur la rythmique acérée et embauche un sax pour se rappeler Lost Highway (la nostalgie ...). Le résultat est ... surprenant, ça commence comme du Nine Inch Nails vénère et breaké, puis ça mute en free jazz et ça se termine sur des presque percussions balinaises revue par Steve Reich. Faut pas lui vendre de la merde à Trent ...

LDY OSC - This is NY (2018)

Je ne sais pas pourquoi mais j'imaginais New York un peu plus organique, moins déshumanisée. Ici c'est plutôt un gigantesque circuit électronique au sein duquel circulent sans jamais aucun répits des milliards de données à une vitesse étourdissante. Et puis parfois l'électronique parfaite se grippe, l'aléatoire s'immisce, provoque un dysfonctionnement d'abord minime. Le système s'emballe, surchauffe, disjoncte. Qui le réparera ? Magic² of 8 EP (The Bunker New York 034) by LDY OSC

Andrea Parker - After dark (2007)

Une déambulation dans des contrées encore plus sombres que le noir durant laquelle finalement les frôlements de créatures indistinctes et menaçantes sont apaisante tant il fait obscur, car au moins c'est signe d'exister. Un monde où avoir peur est rassurant, car au moins c'est signe d'être encore en vie ... Here's One I Made Earlier... by Andrea Parker

Fugees - Fu-ge-la (1996)

Je me demande bien pourquoi j'entends ça au lieu des paroles originales ? "Oooh la la la It's the way we move from here Oooh la la la Pluspora is the new home of the RefuGee(+) Oooh la la la la la la lalala laaah Sweet thing" 

Empereur - Everyday's death & resurrection show (2017)

De l'urgence, de la puissance, de l'énergie, de la révolte, de la morgue, de la castagne, un peu de nihilisme et une certaine classe ! Impérialement Punk ! Everyday's Death & Resurrection Show by Empereur