Dans la série kikerev'la je demande The Body.
Des The Body on retiendra la malchance légendaire de leur chanteur, ce type cumule les mauvaises habitudes; la première il porte de jeans slims, la seconde il ne met pas de caleçon.
Aussi, souvent, quand il remonte sa braguette un drame survient, de la peau de coince dans la fermeture éclair d'où son chant spécifique mélange subtil de douleur, de haine le tout en très aigu.
Venons-en à "Can carry no weight", c'est une terre de contraste un rythme presque techno l'inaugure avec en contrepoint des chœurs éthérés intemporels qui semblent provenir tout droit de chez Dead Can Dance, arrive ensuite la voix caractéristique du chanteur guignard puis la guitare abrasive et bruitiste et enfin cette voix grave, profonde au spectre large et quasi liturgique, le morceau se termine, dans le calme,par quelques traces de cordes.
Un choc des opposés dont sort un moment hors du temps ...
Des The Body on retiendra la malchance légendaire de leur chanteur, ce type cumule les mauvaises habitudes; la première il porte de jeans slims, la seconde il ne met pas de caleçon.
Aussi, souvent, quand il remonte sa braguette un drame survient, de la peau de coince dans la fermeture éclair d'où son chant spécifique mélange subtil de douleur, de haine le tout en très aigu.
Venons-en à "Can carry no weight", c'est une terre de contraste un rythme presque techno l'inaugure avec en contrepoint des chœurs éthérés intemporels qui semblent provenir tout droit de chez Dead Can Dance, arrive ensuite la voix caractéristique du chanteur guignard puis la guitare abrasive et bruitiste et enfin cette voix grave, profonde au spectre large et quasi liturgique, le morceau se termine, dans le calme,par quelques traces de cordes.
Un choc des opposés dont sort un moment hors du temps ...
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